Regardez bien ce périphérique, il va changer le monde de l’impression !
La V-Flash, créée par 3D Systems, est la première imprimante 3D domestique.
Vue sur le site Digital World, elle sera disponible à partir de l’été prochain.
Après la sélection de l’objet à imprimer, de la résine liquide, installée dans une cuve, est frappée plusieurs fois par un rayon laser qui dressera les contours et les détails de l’objet.
En ressortant progressivement à l’air libre, cette résine, déjà durcie au contact du laser, devient stable et solide: l’objet est créé.
La précision est au dixième de millimètre et le temps d’impression s’établit en quelques heures.
C’est peut être long, mais il faut avoir en tête les premières imprimantes matricielles d’il y a 30 ans, et leurs homologues lasers actuelles.
La V-Flash est de taille imposante (elle mesure 65 cm de coté), et sera capable de matérialiser des objets de 17 X 22 X 20 cm.
Pionnière dans le domaine de l’impression 3D domestique, le prix de la V-Flash accompagne son statut novateur : 10.000 $ (soit 7 685 €).
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Arf, « domestique » et « grand public ». Sont un peu cons chez Digital World, quand même… Comme si le grand public allait mettre le prix d’une voiture dans une imprimante 3D.
Bonjour John.
Je pense que nos confrères de Digital World veulent plutôt parler de la destination du marché visé par la V-Flash, et non de l’accessibilité du produit…Vous ne pensez pas ?
ah bah ca c’est inovateur 🙂
j’imagine meme pas les objets que l’on va pouvoir reproduire avec une machine comme ca….
L’objet doit-il être réel ou peut-il n’exister que sous forme de cotes ?
C’est de toutes façons extraordinaire, surtout à ce prix.
« L’objet doit-il être réel ou peut-il n’exister que sous forme de cotes ? »
En fait l’imprimante réalise directement la pièce telle quelle est modélisée sur un logiciel de CAO/DAO (par ex : Catia, Autocad, SolidWorks…).