Quoi de plus énervant quand vous avez rendez-vous tôt un matin, et que votre réveil ne sonne pas parce qu’il n’est plus alimenté, et que la pile de secours est HS ? C’est du vécu ça non ? Pas de panique, je vous ai trouvé une solution élégante et respectueuse de l’environnement. Et pas des moindres, car il s’agit d’une énergie renouvelable et très propre. Même si les moteurs à eau n’existent pas encore, ce réveil matin à eau a lui au moins le mérite d’exister, tant pis pour les autres qui ne jurent que par le pétrole et le nucléaire. On va leur faire la nique avec ce magnifique gadget écolo, n’est-ce pas ?
Vous me connaissez, dés qu’un objet écologique pointe le bout de son nez, je me jette dessus et je le décortique à fond pour être bien sûr de la chose, comme pour les piles bio. J’aime la nature et ses bienfaits, et puisque nous n’avons qu’une seule planète habitable à des centaines d’années lumières à la ronde, autant préserver la nôtre pendant le dernier milliard d’année qui lui reste à vivre. Cette horloge H2O multifonctions est la dernière innovation en terme d’écologie. C’est une horloge, c’est une alarme, c’est mignon, et en plus c’est écologique et économique. Il suffit simplement de tourner l’horloge pour changer de fonction. On tourne un coup, et voilà la fonction alarme, un autre et c’est un chronomètre (pour la cuisson des œufs par exemple), un autre tour et c’est un thermomètre. Sympa non ? Pour ce qui est du combustible, vous le savez c’est simplement de l’eau. Les électrodes à l’intérieur du réservoir provoquent une réaction chimique avec l’eau et produit une énergie suffisante pour le fonctionnement intégral de l’horloge, pour une durée de remplissage de 2 à 3 mois.
C’est comme pour les plantes, faut les arroser de temps en temps car l’eau s’évapore. Cette batterie écologique a une durée de vie continue de 2 ans minimum. Enfin, l’ensemble des composants de cette horloge est recyclable. £19,99 chez gadgetshop. Que c’est agréable des fabricants qui pensent enfin à la planète ! L’écologie fait son chemin, et c’est bien …
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