Après avoir dégraissé son effectif puis demandé la protection de la loi sur les faillites en Angleterre il y a 10 jours, la société Gizmondo a définitivement mis la clé sous le paillasson. C’est la liquidation judiciaire pour la petite Anglaise déguisée en Suédoise. Les employés rient jaune sachant que les deux hauts responsables sont repartis avec 4,5 et 3 millions de dollars chacun en salaires et bonus, comme d’hab.
Rappelez-vous leurs noms si vous les croisez ou s’ils viennent vous demander une petit avance pour créer une nouvelle boîte: Steve Carroll et Carl Freer. Mener la grande vie et se payer une arcade dans Regent Street pour planter une boîte, tout le monde sait le faire. Les signes avant coureurs n’ont trompé personne.
Comme quoi, escrocs et blondes à fortes poitrines ne sont pas de taille pour défier des Sony et des Nintendo. Au revoir Mondo cruelo.
Gizmondo : l’autre console.
La Gizmondo sous le sapin ?
